Les questions fréquentes

La réglementation du Var dont je vous mets le lien ici "Art : 31.6 ; pages 14" du règlement sanitaire départemental du Var, stipule que deux ramonages par an sont obligatoires

Une fois, en dehors de la période de chauffe et une autre fois au milieu de la période chauffe.

Pour la sécurité de tous, on limite ainsi le risque d’intoxication, mais également les risques d’incendie.

Cette question est délicate, car on n’a pas la tête dans le conduit. Le plus simple est d’oser observer son ramoneur travailler afin de voir comment il procède. Ainsi vous serez en mesure d'apprécier ou non le travail effectué.

Par contre, il est bon de savoir que c’est le certificat de ramonage qui vous est remis à chaque intervention qui atteste du travail effectué. Nous vous conseillons de conserver ce document au moins jusqu’au prochain passage du ramoneur.

Oui. En théorie, seul un ramoneur est au courant des normes et dangers à vérifier. Un ramonage est un petit peu ce qu’est un contrôle technique pour les voitures. Comment vous apercevoir d’un problème si vous ne savez pas quelle peut être la cause de ce problème ?
(Ça devient difficile non)

Mon avis personnel sur la question est :

• Pour commencer, que les bûches de ramonage portent un nom qui prête à confusion.
• Un ramonage ne peut s’effectuer que sous l’action mécanique d’un hérisson (qui est la brosse du ramoneur).
• C’est en frottant les parois intérieures de votre conduit de fumée qu’il pourra décrocher les suies.

C'est la seule solution.

Le rôle d’une bûche de ramonage pour faire simple serait plutôt de sécher et rendre friable le goudron, en supposant bien entendu que vous avez du goudron à l’intérieur de votre évacuation de fumée.

En résumé, une bûche de ramonage ne remplacera jamais un ramonage. De ce point de vue une bûche de ramonage est inutile !

Je ne pourrais malheureusement pas m’étendre sur le sujet par écrit.

À mon sens, beaucoup de facteurs sont à prendre en cause. Dans ce cas, il faut faire intervenir un professionnel (un ramoneur fumiste diplômé)

Selon l’installation, par un simple ramonage qui vous coûtera toujours moins cher. À la suite de quoi, si un doute subsiste, auprès du ramoneur

Un test d’étanchéité ou une vérification à la caméra seront des moyens parfaits pour vous en assurer.

Deux solutions en montant sur le toit :

• Le bistre est généralement plus présent en haut des conduits de fumée. Car c’est en refroidissant que le goudron vient se fixer aux parois.
• Ou alors, en faisant intervenir un professionnel de la cheminée par un simple ramonage. Si en frottant, des cailloux de goudron viennent à tomber, il y a de grandes chances que le conduit soit bistré.

Par un débistrage, il n'existe pas d’autres solutions. En fonction de l’épaisseur de bistre accumulé, cela représente un ou deux passages.

S’il y en a beaucoup, un premier débistrage à l’aide de canne montée sur un appareil rotatif (type moteur ou montée sur une perceuse).

En fonction de votre boisseau, ce sera :

• Des petites chaînes
• Des câbles avec des plombs fixés au bout
• Des câbles nus
• Du fils en plastiques comme pour les débroussailleuses

Qui pourront venir frotter ou taper sur les parois en fonction de leur fragilité bien sûr. Si cela ne suffit pas pour tout éliminer, il faudra ensuite assécher le goudron à l’aide d’un produit de débistrage. Maison Line Ramonage travaille avec un produit, appeler Bistre A9

Personnellement, nous le commercialisons, mais il est également possible de vous en procurer sur internet

Le produit anti-bistre agira sur les braises bien chaudes et pourra sécher et décoller le bistre. Mais il n’y a que sous l’action mécanique que l’on pourra réellement finir de tout retirer.